L’utilisation des smartphones peut avoir une série d’impacts sur le bien-être général de l’enfant, mais il est possible d’éviter les risques fondamentaux.

Une étude lancée par l’entreprise technologique Samsung Electronics Baltics révèle l’impact de l’utilisation du téléphone sur les enfants et les mesures de contrôle utilisées par les parents.

Le double impact des smartphones

De nos jours, les enfants grandissent entourés de technologie, et il est naturel que cela affecte leur bien-être, leur état émotionnel et leur relation avec leurs parents.

« Une enquête lancée par Samsung Electronics Baltics a montré qu’environ un tiers des parents interrogés en Lituanie pensent que les appareils intelligents aident leurs enfants à s’intégrer à leurs pairs (32 %), à utiliser les fonctions du smartphone à des fins éducatives (31 %), à découvrir de nouveaux passe-temps et amis, ou à faire partie de communautés en ligne (31 %).

En outre, une personne interrogée sur dix a déclaré que l’utilisation d’un téléphone rendait ses enfants plus sociables, plus engagés, plus créatifs et plus innovants. Ainsi, lorsqu’ils sont utilisés correctement, les smartphones peuvent être un outil formidable pour libérer la créativité des enfants et les aider à développer une série de compétences telles que la communication, la pensée critique ou même analytique.

D’un autre côté, lorsque les enfants utilisent leur téléphone sans surveillance, les effets négatifs du temps passé devant un écran peuvent également être observés. Un quart des personnes interrogées ont déclaré que leurs enfants étaient plus distraits et plus émotifs lorsqu’ils utilisaient un smartphone, tandis que 24 % des personnes interrogées ont identifié l’utilisation du téléphone comme une source d’anxiété et de stress pour les enfants.

Des contrôles adéquats sont essentiels

Il n’y a probablement aucun parent qui n’a pas été confronté au problème de l’utilisation excessive des appareils intelligents. Si la technologie offre de nombreuses possibilités d’éducation et de divertissement, il est essentiel de maintenir un équilibre et de favoriser une relation saine avec les appareils intelligents.

L’enquête a montré que 9 parents lituaniens sur 10 sont d’accord pour dire que l’utilisation du smartphone par leur enfant doit être surveillée et contrôlée. 9 % des personnes interrogées ont déclaré que les contrôles ne sont nécessaires que si la famille a eu des problèmes et des expériences négatives avec les téléphones dans le passé. Seulement 1 % des personnes interrogées ont déclaré que les contrôles n’étaient pas du tout nécessaires.

Alors que la grande majorité – 90 % – des personnes interrogées ont déclaré que des contrôles étaient nécessaires, seules 28 % d’entre elles ont indiqué qu’elles utilisaient régulièrement des applications dédiées aux smartphones. Par ailleurs, 40 % des personnes interrogées ont déclaré ne pas utiliser de contrôle parental.

Les fabricants de smartphones sont bien conscients du besoin et du désir des parents de protéger leurs enfants, c’est pourquoi des fonctions de sécurité innovantes sont disponibles sur les téléphones les plus récents. Parmi les choix les plus populaires auprès des jeunes consommateurs figurent les appareils de milieu de gamme de la série Samsung Galaxy A, qui intègrent des solutions de bien-être numérique et de contrôle parental.

Par exemple, l’application Google Family Link vous permet de gérer les comptes de vos enfants et de changer les mots de passe s’ils les oublient. Les parents peuvent fixer des limites de temps pour l’utilisation du téléphone de leur enfant et voir quelles sont les applications qu’il utilise le plus. Ils peuvent également bloquer des applications ou des fonctions indésirables. Par exemple, les réseaux sociaux, les jeux ou les navigateurs web. Certaines fonctionnalités permettent aux parents de voir où se trouve leur enfant grâce au GPS.

L’enquête a été réalisée en mars 2024 par Samsung Electronic Baltics en coopération avec l’agence de recherche Norstat. Plus de 500 personnes âgées de 18 à 65 ans ont participé à l’enquête en Lituanie.