Pas encore de remède : un homme a contracté un virus dangereux par l’intermédiaire d’un rat
Un homme de l’Arkansas a récemment été diagnostiqué avec un virus potentiellement mortel appelé hantavirus. Il l’a contracté par l’intermédiaire d’un rat. C’est ce que rapporte le portail d’information « ».
Le virus, dont le taux de mortalité est d’environ 40 %, se transmet généralement par les excréments des rongeurs. Cette souche endommage les poumons, de sorte qu’une personne s’étouffe simplement en avalant le liquide, avec un risque de décès de 40 %.
Un rat infecte un homme avec un virus mortel
Ce terrible diagnostic est le résultat d’une importante découverte faite par des chercheurs de l’université de l’Arkansas. Ils ont découvert une nouvelle souche d’hantavirus, qu’ils ont baptisée virus de l’Ozark, chez un rat épineux. La souche découverte est considérée comme extrêmement dangereuse.
Il s’agit d’un problème grave :
- Chaque année, environ 800 Américains contractent la maladie, dont environ 300 en meurent.
- Les symptômes de l’infection à hantavirus ressemblent à ceux d’une grippe sévère et peuvent entraîner des complications plus graves affectant le cœur et les poumons. La maladie, connue sous le nom de syndrome pulmonaire à hantavirus, commence généralement par de la fièvre, des douleurs musculaires et des nausées, et peut évoluer vers des difficultés respiratoires et une oppression thoracique.
Que dois-je savoir d’autre sur l’hantavirus ?
La maladie affecte principalement les vaisseaux sanguins des poumons, provoquant leur éclatement et le remplissage des poumons par un liquide qui peut être fatal. Il n’existe pas de remède ou de vaccin spécifique contre l’hantavirus, mais le traitement pratiqué vise à permettre au patient de respirer et de s’hydrater et à soulager les symptômes tels que la douleur et la fièvre.
Bien que l’hantavirus ne se transmette généralement pas entre humains, de rares cas de transmission interhumaine ont été signalés au Chili et en Argentine à l’aide d’une souche différente appelée virus andin.